 Par pudeur ou crainte de me lancer
des fleurs, je vous offre ce genre de notice biographique :
José Chanly (j'ai l'heur de le connaître mieux que mon frère) est un poète vivant en Belgique, entre Namur et Charleroi-Chicago selon des propos malveillants (diptyque composé sous la menace de kalachnikovs). Entre les balles, il a pu commettre huit recueils et créer, avec l'aide ô combien précieuse d'un ami, trois sets sur le Nil. Que dis-tu? Pardon! Trois sites sur le Net. Il a tant de fans que les enfants le préfèrent à Peter Pan, et que les adultes lui vouent un culte qui le gêne un peu... Voir sa tronche trônant sur des autels au milieu de tremblotantes bougies le met mal à l'aise. Vous exagérez un peu, potes et bigotes! Quand il franchit le seuil de sa demeure, c'est l'é-meute (des journalistes à ses trousses). Il s'enferme donc dans sa tour d'Yvoir (non loin de Dinant), ciselant des poèmes qui assureront à ses vers, non, plutôt à ses cendres (il veut être incinéré pour éviter la grande bouffe), une gloire éternelle, ce qui lui fait deux belles jambes à brûler. Il vous propose, n'ayons pas peur des mots, des chefs-d'oeuvre : les Riches Heures : http://chanly.apinc.org/rh.html le Monde Merveilleux des Haïku : http://chanly.apinc.org/ Le duc de Chanly vous envie. Du haut de sa grandeur (1 m 73, mais il commence à vieillir, donc à se tasser), il vous suggère de ne pas prendre la route après lecture, l'ivresse au volant étant réprimée. Il vous bénit.  |
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